Date de publication :

17/08/2017

Modifié le :

17/08/2017

Nous voilà !

Nous nous sommes faits un peu plus discrets dans votre boîte courriel cette année, mais nous avions une bonne raison pour cela. Nous avons passé les derniers mois à réfléchir à notre positionnement comme organisme de soutien et de développement culturel. Nous nous sommes questionnés sur notre pertinence, nos actions, nos outils, nos méthodes de travail, notre vision.

Il y a déjà maintenant plus de 40 ans que le Conseil de la culture du Bas-Saint-Laurent existe, il était donc impératif et salutaire que nous passions en revue nos mécanismes et modes de fonctionnement pour nous assurer de répondre au mieux à la réalité culturelle d’aujourd’hui.

L’un des constats de notre année de réflexion fut que oui, l’organisme est toujours pertinent et qu’il a maintenu, malgré les bourrasques, un niveau d’excellence qui le positionne toujours comme une référence en matière de culture. Comment faire mieux maintenant ? Voici les dossiers sur lesquels nous nous sommes penchés.

Notre identité se déploie sur deux axes, organisationnel et visuel. Sur le plan de l’identité organisationnelle, le changement le plus flagrant est certainement notre dénomination qui évolue vers Culture Bas-Saint-Laurent. Pourquoi ce changement ?

Pour 2 raisons. 

« L’organisme a maintenu, malgré les bourrasques, un niveau d’excellence qui le positionne toujours comme une référence en matière de culture »

1. Pour se distancier de l’image gouvernementale que l’appellation Conseil induit.

Eh oui, Culture Bas-Saint-Laurent est un organisme à but non lucratif, ce n’est ni une société d’État ni une organisation affiliée au Ministère de la Culture et des Communications. Notre organisme a une vision 360 degrés de la culture et officie dans toutes les disciplines, avec tous les types d’artistes et d’organismes culturels. Il étend aussi son expertise dans des domaines aussi variés que l’éducation, les paysages d’intérêts patrimoniaux ou encore la politique.

2. Culture Bas-Saint-Laurent est un organisme terrain qui fait du développement.

Nous sommes évidemment de très bon conseil, mais pas seulement. Tout au long de son existence l’organisme a travaillé à plusieurs projets de développement. Pensons par exemple, à la naissance de la Corporation des métiers d’arts du Bas-Saint-Laurent et à celui du Réseau muséal.

En matière d’identité organisationnelle, nous avons également retravaillé nos énoncés de mission, de vision et nos valeurs. Ici pas de révolution, nous sommes et tenterons de demeurer la référence en matière de culture sur le territoire du Bas-Saint-Laurent. Je vous invite à aller faire un tour dans notre section à propos pour comprendre ce qui sous-tend nos actions quotidiennes.

 « nous sommes et tenterons de demeurer la référence en matière de culture sur le territoire du Bas-Saint-Laurent »

En matière d’identité visuelle, le changement est incontestablement plus évident. Un nouveau logo, de nouvelles couleurs, un nouveau visuel pour nos outils de communication, dont le plus gros : notre site web. Ici encore, une grande réflexion s’inscrit derrière cette nouvelle identité et toute la conception des outils de communication qui en découle. Nadia, notre responsable des stratégies de communications vous l’explique dans ce communiqué.

Je termine en vous disant que notre réflexion ne se termine pas aujourd’hui au contraire, nous nous ferons un point d’honneur d’user d’agilité pour nous adapter à l’univers changeant propre au milieu culturel afin d’offrir des services toujours plus ajustés aux besoins. Le conseil d’administration et l’équipe profiteront du lac à l’épaule prévu en décembre pour réfléchir, entre autres, au déploiement  de l’organisme sur l’entièreté du territoire. Le champ de nos réflexions est vaste et je prendrai soin, dans de prochains articles, de vous en faire part. Notamment en ce qui concerne nos rôles et mandats dans l’équipe de travail et au conseil d’administration, les méthodes propres à la gouvernance collective, les solutions pour maximiser notre déploiement sur le territoire, et même nos espaces physiques, nos bureaux. Comme des lieux qui favorisent encore plus le travail collectif, mais aussi et surtout, comme des lieux d’accueil.

Au plaisir de se croiser !